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5 manières pour les entreprises locales d’utiliser leur localisation dans leur nom de domaine

Par Erin Hutchison
Spécialiste des communications

Voici quelques idées pour inclure des termes de localisation dans votre nom de domaine.

Un bon nom de domaine d’entreprise peut en dire long en quelques caractères.

Bien que vous souhaitiez généralement que votre nom de domaine soit une variante plus courte du nom complet de votre entreprise ou de votre marque (le nom de votre entreprise et celui de votre marque n’étant pas nécessairement les mêmes), il est souvent avantageux de donner également à vos clients une idée de l’endroit où vous vous trouvez.

Bien que nous sachions que les Canadiens font confiance à un domaine se terminant par .CA, en tant que symbole d’une entreprise qui sert les Canadiens, il est parfois utile d’être encore plus précis. Si tel est le cas, voici quelques idées basées sur les tendances que nous avons observées dans les enregistrements de noms de domaine.

Noms de lieu

Commençons par ce qui est évident : vous pouvez ajouter un nom de ville complet (par exemple, « Laval » ou « Drummondville ») pour indiquer très clairement le marché que vous desservez.

L’un des inconvénients est que cela peut rendre votre nom de domaine assez long, ce qui n’est pas très joli sur une carte de visite.

Passons maintenant à des options plus créatives…

Indicatif régional

Le passage à la numérotation à 10 chiffres a popularisé les indicatifs régionaux, mais avouons-le, c’est Drake qui les a rendus emblématiques.

De nombreuses entreprises et blogues utilisent des indicatifs régionaux, voici quelques exemples :

  • apt613.ca : « Un blogue primé dédié à découvrir le meilleur des arts et de la culture à Ottawa. »
  • beelocal416.ca : « Apiculture urbaine durable. »
  • madeinthe604.ca : « Un blogue, un marché éphémère et une boutique en ligne dédiés au soutien et au commissariat des meilleurs artistes, artisans, fabricants et entreprises locaux. »

Avec seulement trois chiffres mémorables, vous pouvez indiquer votre localisation tout en gardant votre nom de domaine court et facile à mémoriser.

Codes d’aéroport

Qu’en est-il d’utiliser des codes d’aéroport dans les noms de domaine? Comme les indicatifs régionaux, ils ne prennent que trois caractères dans un nom de domaine et constituent un moyen mémorable de nommer une entreprise locale.

En effectuant une recherche dans nos données de domaines, j’ai trouvé qu’il y avait environ 5 000 domaines .CA qui contiennent des codes d’aéroport. Certes, ce chiffre contient les sites Web des aéroports eux-mêmes, ainsi que quelques faux positifs (des choses comme YOWzacoffee.ca, qui à ce point n’est pas enregistré, même si, à mon avis, ce serait un excellent nom pour une entreprise de café basée à Ottawa).

Fait intéressant, les deux principaux codes d’aéroport trouvés dans les domaines .CA sont YYC pour Calgary et YEG pour Edmonton. Voici quelques exemples :

  • veginyyc.ca: « L’un des meilleurs cafés à emporter à base de plantes et sans gluten à Calgary. »
  • goodbreadyyc.ca: « Boulangerie locale, ingrédients simples, cuisson en petits lots. »
  • yegburger.ca: « Le meilleur hamburger d’Edmonton. »

Je ne voyage pas souvent dans l’ouest du pays. Pour ceux qui le font, avez-vous remarqué cette tendance dans les noms des entreprises?

P.S. Si vous souhaitez en savoir plus sur l’histoire des codes d’aéroport, n’hésitez pas à consulter cet article de blogue intéressant.

Surnoms de villes

De nombreuses villes canadiennes ont des surnoms non officiels utilisés localement comme Cowtown (Calgary) ou Hogtown (Toronto).

C’est une bonne option si vous recherchez quelque chose avec une touche d’humour ou un nom de domaine allitératif et accrocheur comme bytownbites.ca.

Un domaine .CA

Si votre entreprise appartient à la catégorie hyperlocale (comme un fleuriste, un salon de coiffure ou un restaurant) ou si elle appartient à la catégorie nationale (comme viarail.ca ou indigo.ca), la décision de nom de domaine la plus simple que vous pouvez prendre est à droite du point (également connu sous le terme de nom de domaine de premier niveau).

Choisir .CA pour le domaine de premier niveau dit : « Hé, mon entreprise est au Canada », avec seulement deux lettres. Vous pouvez voir quels types de domaines sont disponibles ici :

Un domaine .CA déclare que votre entreprise est fièrement canadienne

Deux dernières notes sur l’inclusion de la localisation dans les noms de domaine

1. Considérez si votre domaine est à l’épreuve du temps.

Si vous pensez étendre votre marché de Toronto à tout l’Ontario, c’est peut-être quelque chose qui pèsera sur votre décision finale concernant le choix du nom de votre domaine.

Si votre entreprise se développe plus que vous ne l’aviez prévu à l’origine, vous pouvez conserver avec fierté votre localisation initiale comme faisant partie de l’identité de votre entreprise. Et même si vous voulez changer de nom, ce n’est pas grave, vous pouvez toujours changer le nom de votre domaine.

Si vous prévoyez de vous développer à l’extérieur du Canada, c’est une bonne idée d’aller de l’avant et d’enregistrer un domaine .CA, ainsi que d’autres domaines de premier niveau pertinents. Les grandes marques disposent souvent d’un portefeuille de noms de domaine.

2. Quelle est la connexion entre un nom de domaine et le référencement naturel?

En d’autres termes, l’ajout d’un mot-clé de localisation augmente-t-il le référencement de votre site Web lorsque les gens effectuent des recherches? C’est une très bonne question qui, malheureusement, n’a pas de réponse simple, mais nous pouvons vous indiquer deux articles utiles :

Vous voulez plus de conseils sur le choix d’un nom de domaine? Notre guide Transporter votre entreprise en ligne : comment choisir un nom de domaine et plus, pourrait vous proposer des plats à retenir intéressants.

À propos de l’auteur
Erin Hutchison

Erin apporte à CIRA son bagage du marketing dans les secteurs de l’enseignement supérieur et des organismes sans but lucratif. En 2016, elle a participé au Programme Jeunesse@IGF de l’ISOC et s’est rendue à Guadalajara, au Mexique, pour participer à l’IGF. Elle est titulaire d’un baccalauréat en commerce international délivré par l’Université Carleton.

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