Dans une pièce confortable du centre-ville de Toronto baignée par une fraîche odeur de café, des journalistes, des défenseurs des droits de la personne et des experts en cybersécurité et en droit numérique commencent à s’installer. En réalité, j’étais étonné par le nombre de participants qui s’étaient déplacés en ce dimanche frisquet, mettant leur week-end de côté pour faire le point sur la sécurité et la confidentialité numérique dans le cadre de cet atelier d’autodéfense numérique présenté par les journalistes canadiens pour la liberté d’expression (CFJE). L’atelier était subventionné par l’ACEI dans le cadre de son Programme d’investissement communautaire.
Dans une pièce confortable du centre-ville de Toronto baignée par une fraîche odeur de café, des journalistes, des défenseurs des droits de la personne et des experts en cybersécurité et en droit numérique commencent à s’installer. En réalité, j’étais étonné par le nombre de participants qui s’étaient déplacés en ce dimanche frisquet, mettant leur week-end de côté pour faire le point sur la sécurité et la confidentialité numérique dans le cadre de cet atelier d’autodéfense numérique présenté par les journalistes canadiens pour la liberté d’expression (CFJE). L’atelier était subventionné par l’ACEI dans le cadre de son Programme d’investissement communautaire. J’avais la chance de représenter l’ACEI pour féliciter les organisateurs et en apprendre davantage sur la sécurité et la confidentialité numérique.
La journée était composée d’une séance de groupe sur les bases de la sécurité numérique suivie de séances individuelles pour les journalistes et les défenseurs des droits de la personne. Après le lunch, les participants ont pris part à de plus petits ateliers sur le chiffrement du contenu audio/visuel, la navigation en ligne sécuritaire, les meilleures pratiques pour le signalement des risques élevés, la sécurité pour les systèmes d’exploitation iOS et Android, la sécurité des ordinateurs de bureau, l’hameçonnage et la sécurité des dispositifs numériques des postes frontaliers.
Comme je ne pouvais pas être partout à la fois, voici les 5 conseils en matière de sécurité et de confidentialité numérique qui ont attiré mon attention :
- La perfection en matière de sécurité n’existe pas, il y a seulement des améliorations.
- Prenez la modélisation des menaces en considération, soit le processus pour identifier, énumérer et prioriser les menaces potentielles. Les menaces sont différentes pour tout le monde.
- Parfois, il ne s’agit même pas de piratage. Qui vous regarde utiliser vos appareils? Portez attention aux façons non technologiques d’accéder à vos données.
- Vos dispositifs numériques peuvent faire l’objet de vérifications aux douanes canadiennes (lorsque vous êtes en mode avion). Tout le contenu téléchargé peut être vérifié, y compris les photos, les courriels, les textos, etc.
- Comme s’il s’agissait d’une bouteille de shampoing de format voyage, pensez à traîner un minimum de données avec vous lorsque vous voyagez.
Bien entendu, ces 5 conseils ne représentent qu’une petite partie du contenu présenté dans le cadre de l’atelier, mais les journalistes canadiens pour la liberté d’expression se sont engagés à créer des vidéos du contenu de l’atelier pour que tous ceux qui ne pouvaient y participer puissent améliorer leur niveau de littératie numérique en matière de sécurité et de confidentialité. De plus, l’initiative permet la diffusion de ces connaissances au-delà de l’atelier d’une journée. Du concret donc pour bâtir un meilleur Canada en ligne. Pour de plus amples renseignements sur le sujet, jetez un œil au site Web des CFJE (en anglais).
Alison Gareau gère les communications d’entreprise au service de l’ACEI. Elle a consacré sa carrière aux organismes sans but lucratif et acquis une expertise des communications d’entreprise, de l’image de marque, de la gestion du changement ainsi que des relations publiques.
