Aller au contenu principal
  • État de l'internet

Cinq faits sur la nourriture et Internet à se mettre sous la dent

Êtes-vous affamé d'info concernant Internet? Voici de quoi vous sustenter! Découvrez tous les liens qui existent entre Internet et la nourriture en commençant par vous mettre sous la dent ces quelques faits.
Par Alison Gareau
Gestionnaire du marketing

Êtes-vous affamé d’info concernant Internet? Voici de quoi vous sustenter! Découvrez tous les liens qui existent entre Internet et la nourriture en commençant par vous mettre sous la dent ces quelques faits.

C’est le moment de l’année où la nourriture occupe l’esprit des Canadiens. D’accord, je vous l’accorde, quelle que soit la saison, la nourriture occupe notre esprit.

Certains d’entre vous songent déjà à cette délicieuse dinde rôtie qui sera bientôt à l’honneur, agrémentée de tous ses accompagnements. Peut-être songez-vous à vous offrir ces chocolats fins que vous trouvez hors de prix à tout autre moment de l’année. Ou peut-être encore célébrez-vous les fêtes en dégustant votre plat à emporter préféré, livré tout chaud à votre porte, vous permettant d’éviter les rues enneigées et la cohue des fêtes.

Les possibilités sont nombreuses et alléchantes.

À l’ACEI, la nourriture occupe aussi notre esprit. Nous avons même décidé de rédiger un rapport sur le sujet. Plus précisément, nous avons établi des liens entre la nourriture et l’autre chose qui occupe habituellement notre esprit : Internet.

Comment Internet a-t-il changé la façon dont les Canadiens s’alimentent? Comment peut-il contribuer à nourrir les Canadiens affamés? Ou encore, comment Internet pourrait-il enlever le pain de la bouche des Canadiens? Le rapport de l’ACEI intitulé Les façons dont Internet nourrit la population canadienne affamée approfondit ces questions et plus encore.

Pour ne pas rester sur votre appétit, vous pouvez prendre connaissance de l’intégralité du rapport. En voici un bref aperçu, histoire de vous mettre l’eau à la bouche.

1. Le quart des Canadiens achètent de la nourriture en ligne.

Le Dossier documentaire sur Internet au Canada indique que pendant la dernière année, 24 pour cent des internautes Canadiens ont acheté de la nourriture en ligne. Cela représente une augmentation par rapport aux 14 % enregistrés il y a deux ans, une tendance qui s’accentuera, selon nous, compte tenu du nombre grandissant de façons de magasiner de la nourriture en ligne. Ce rapport aura peut-être pour effet d’inciter les 75 pour cent restants à faire de même.

2. Les Canadiens aiment les repas à emporter et il est tellement facile de les commander en ligne.

Que vous visitiez le site Web de votre restaurant préféré pour assouvir votre fringale de cuisine thaï ou que Skip – du resto jusqu’à vous vous livre un bol de soupe réconfortante lorsque vous avez le cafard, la commande de nourriture est une activité en vogue sur Internet.

Assouvissez vos fringales en passant une commande en ligne!

3. De formidables sites Web Canadiens font la promotion du mouvement favorisant l’achat d’aliments locaux.

Le mouvement de promotion de la consommation d’aliments locaux est bien vivant sur Internet. En tant qu’ancienne fille des Prairies (mais à jamais dans mon cœur), j’ai dévoré des yeux les délices culinaires offerts sur saskmade.ca, où l’on peut se procurer tout ce qui se fait à base de baies (tartes, confitures, sirops).

 

Grâce à une simple recherche dans Google, vous pouvez aussi entrer en contact avec des producteurs locaux! Des restaurants « de la ferme à la table » font la promotion de leurs savoureux produits au moyen de sites Web au design remarquable tels que fablekitchen.ca, des gouvernements provinciaux font la promotion des produits locaux et présentent des recettes visant à inciter les citoyens à se les procurer, et il y a aussi les services tels qu’hellofresh.ca , qui offrent des trousses de préparation de repas et qui demandent aux Canadiens « Qu’est-ce qu’on mange pour souper? ». Votre ventre gargouille? Internet est prêt à prendre votre commande.

4. La technologie numérique permet de concrétiser le proverbe selon lequel qui récupère, prospère.

Le gaspillage alimentaire est une triste réalité. Compte tenu du grand nombre de Canadiens qui ne mangent pas à leur faim, il y a là un problème. Des organismes avant-gardistes tels que Moisson Montréal mobilisent des épiceries et d’autres commerces afin d’acheminer vers les organismes communautaires venant en aide aux personnes défavorisés des aliments toujours propres à la consommation qui aboutiraient autrement au dépotoir. Ce processus, facilité par Internet, fait une différence.

L’ACEI a contribué au financement des bonnes œuvres de Moisson Montréal et nous en sommes très fiers. Prenez note : à compter de janvier, nous recevrons les demandes dans le cadre de notre Programme d’investissement communautaire aux fins d’un nouveau cycle d’octroi de subventions. Pour en savoir plus, visitez www.cira.ca/cip !

5. Tout le monde devrait avoir accès à de la nourriture et à Internet.

Les services Internet à domicile sont dispendieux et grugent souvent une portion trop importante du budget mensuel des familles. Dans certains cas, les tarifs sont si élevés que certaines personnes doivent couper dans leur budget alimentaire pour se payer ces services. Vu la grande utilité d’Internet dans le quotidien des Canadiens, peut-on vraiment le leur reprocher? Dans la vision de l’ACEI, personne au Canada ne devrait avoir à choisir entre s’acheter de la nourriture et payer sa facture d’Internet. Grâce aux engagements que prend le gouvernement du Canada et aux démarches que mettent en œuvre les défenseurs d’Internet et les organismes comme l’ACEI, nous sommes en mesure de réaliser la vision d’un meilleur (et moins affamé) Canada en ligne.

Pour prendre connaissance du rapport intégral, visitez www.cira.ca/food et communiquez votre expérience en matière de #nourritureetInternet à @CIRANews sur Twitter.

À propos de l’auteur
Alison Gareau

Alison Gareau gère les communications d’entreprise au service de l’ACEI. Elle a consacré sa carrière aux organismes sans but lucratif et acquis une expertise des communications d’entreprise, de l’image de marque, de la gestion du changement ainsi que des relations publiques.

Chargement…